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Grand oral des municipales : 5 bonnes raisons de convier Mickaël Baubonne

  • Photo du rédacteur: Mickaël Baubonne
    Mickaël Baubonne
  • 5 oct.
  • 3 min de lecture

Le journal Sud Ouest organise le 10 octobre prochain un grand oral avec les « principaux candidats » aux élections municipales de 2026 à Bordeaux. Mickaël Baubonne, défenseur d’un projet urbain autour du métro, se déclare disponible et demande à participer à cet événement, estimant que toute discussion sérieuse sur l’avenir de Bordeaux ne peut se tenir sans la voix du seul candidat proposant un projet alternatif global autour du métro. 


1.   Le seul candidat avec une ambition détaillée, autour du métro

Le métro est un signal fort de l’ambition qui manque aujourd’hui à Bordeaux et qui aura un impact direct sur l’économie, le logement, l’emploi. Aujourd’hui les autres candidats peinent à prendre de la hauteur et sont dans l’incantation d’une ambition à trouver sans préciser laquelle. Les mobilités constituent également un enjeu majeur et structurant pour Bordeaux. Or, les premières déclarations des candidats et même l’absence de déclaration les relèguent au second plan.

« Il sera difficile de parler mobilités sans parler métro. Et il sera alors curieux d’en parler sans inviter le seul candidat qui le défend depuis plus de quinze ans et qui a une expertise du réseau de transport en commun. »

2.   Un engagement citoyen constant, bien avant les élections

« En 2019 comme en 2025, certains candidats se découvrent Bordelais quelques mois avant les élections alors qu’on ne les a jamais entendus sur les galères quotidiennes des Bordelais jusque-là ! »

Investi dès 2009 dans les démarches prospectives et participatives initiées par Bordeaux Métropole, Mickaël Baubonne est aussi connu pour avoir créé l’association Métro de Bordeaux, sans laquelle le sujet du métro serait toujours tabou à Bordeaux. Son expertise est désormais reconnue puisque toutes ses alertes face à une attractivité mal accompagnée se sont toujours révélées exactes. Cet engagement s’est constamment fait indépendamment du calendrier électoral, par conviction, pas par opportunisme.


3.   Un universitaire compétent, un lanceur d’alerte

Docteur en droit public, maître de conférences, spécialiste des collectivités territoriales, Mickaël Baubonne est un universitaire engagé, et non un professionnel de la politique. Il n’appartient à aucun parti, et n’est pas élu sur une liste politisée. Depuis 2009, Mickaël Baubonne alerte sur les bricolages successifs du réseau de transports en commun qui ne règlent rien et ne font que repousser l’inévitable décision de construire un métro. Ses avertissements se sont confirmés les uns après les autres (les lianes, l’« optimisation », la « robustification »…). Pendant ce temps, les performances du réseau se dégradent et ses coûts d’exploitation ont explosé en quinze ans.


4.   Un projet concret et documenté

« Je suis aujourd’hui le seul à proposer un programme municipal et métropolitain aussi avancé avec des propositions très concrètes. Quand d’autres font de l’attractivité une fin en soi, nous voulons, nous, l’accompagner grâce à la puissance publique. »

Le programme est structuré, public et déjà en ligne. Il s’appuie sur plusieurs fiches-projets détaillées, avec une approche à la fois municipale et métropolitaine. Mickaël Baubonne et son équipe distribuent déjà ce programme aux Bordelais. Celui-ci comprend notamment : le métro, la passerelle Quinconces–Bastide, le passage de TBM en régie, le plan Envie de Bordeaux, le plan Ombre, le plan Sommeil, le rééquilibrage du logement social, la densification douce et la construction en hauteur (opération pilote Latule).


5.   Un candidat qui vit vraiment à Bordeaux 

« Je suis le seul candidat qui habite sur la rive droite. Et je ne parle pas d’un symbole : je vis à Brazza, au cœur des mutations urbaines dont tout le monde parle sans jamais les vivre. »

Contrairement à d’autres candidats, Mickaël Baubonne dispose d’une adresse et d’une boîte aux lettres à son nom, qui correspond à celle figurant sur la liste électorale bordelaise (avril 2025).

« Je ne suis pas un Bordelais de circonstance, ni un candidat de passage. Je suis un Bordelais de conviction. »

 
 
 

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